Friday, June 13, 2014

"La parole devrait être laissée aux femmes, pour une espérance digne" Mais auxquelles? Correspondence LIPFL/WILPF

"May there be peace on earth and may it be helped through me!"

Chere Gisele, chers amis,

Oui, je suis adhérente de la Ligue Internationale des Femmes pour la Paix  et la Liberte (LIPFL/WILP - allemand). En tant qu'elle mon premier désir est la construction de la paix/Eirenae!!!  Notre organisation, digne  une fois d'un Prix Nobel (qu'il a jamais reçu comme organisation, mais trois des ses membres) est enfant de la Première Guerre Mondial. Elle a donné   les mots clés pour   la fondation  de la Société des Nations  et  L'ONU. Plusieurs parmi ces fondatrices  ont donné leurs vies pour la lutte antifasciste et anti-guerre. Il est  temps que nos soeurs contemporaines, enfants d'un nouveau siècle, comprennent que la paix d'abord et tous le reste est a suivre. Le fascisme et la guerre sont des jumeaux  éternelles. 

La guerre civile en Syrie  comme en Ukraine était importé par des forces fascistes qui ont survecu la Deuxieme Guerre Globale, malheureusement et parce que ont était pas attentive. Nous, les forces pacifistes nous avons pas compris la source de la malaise.

Ecoutant alors les voix des femmes eclairés, écoutant les  fondateurs de la Ligue, écoutant les voix des femmes comme Berta Suttner, Helene Stöcker, Minna Cauer, Anita Augspurg Lyda Gustava Heymann, Gertrud Wokker, Edith Ballantyne, écoutant des voix des femmes  comme Clara Zetkin et Rosa Luxembourg, comme Jane Adams, Emily Green Balch  des Etats Unies or  Gabrielle Duchene de la France   et milliers d'autre de tout les horizons qui ont lutté pour la paix et qui ont donné leurs vies pour laceuse la plus noble de l'humanité. Parmi ces femmes ce trouvent quelques-unes au rang du chef d'état comme Indira Ghandi.
Mais il y en a d'autre comme Hillary Clinton, Lady Ashton et Madame von der Leyen, un genre de femmes avec qui on n'aboutira  jamais à la paix du monde.

En ce qui concerne la Syrie, il faut savoir  nommé eux qui sont responsable pour la misère qui frappe femmes, enfants, hommes et des trésors culturels. Il s'agit des memes forces qui sont responsables pour la misère ailleurs. Sans les reconnaitre ont ne peux pas surmonter la misère. Il y en a pas mal des femme qui ont pris place entre ceux qui causent la misère en mode, parce ce que il en profite!
N'oubliez jamais que l'essentiel est une conscience politique fondé sur l'information propre qui est difficile à trouver.

Avec mes sentiments amicales Irène

gisele.noublanche@laposte.net avez écrit le 11 juin 2014

Merci à Irène, adhérente à la WILPF (Allemande, je crois) de nous informer sur notre propre presse !
Voilà un article d'un chercheur sérieux et bien dans son rôle.
Une touche intellectuelle pour rendre explicable une situation syrienne et internationale sur la question syrienne, un discours où l'émotion n'entre pas, eu égard aux souffrances endurées par les Syriens.
Il y manque la suite du discours : comment le peuple de Syrie guérira-t-il de cette violence intolérable ?
Comment soigner les enfants rescapés, et les femmes épuisées et traumatisées?
Comment ce peuple pourra-t-il vraiment obtenir et construire un régime de paix qui aspire à la démocratie, et où les gens acceptent de vivre ensemble, quelle que soit l'étiquette ethnique ou religieuse dont on les marque ou les affuble, ou dont ils se marquent eux-mêmes ? acceptent de vivre en paix, dans un monde de paix ?
Cet éminent chercheur, dont la presse produit avec cet interview une belle et grande photo séduisante d'un bel homme séduisant,  analyse fort intelligemment les jeux diplomatiques et politiques de cette "Histoire", si déterminante dans la vie des gens qui vivent cette guerre. Mais, pour avoir une vue plus complète de la situation, il faut y ajouter les révélations sur les commerces des armes, licites et illicites,  et les intérêts qui sont par derrière, et comment un peuple réprimé et opprimé en arrive à se défendre par la violence, et dire à quoi aspirent les civils innocents qui rêvent encore de démocratie, de justice, de paix : manger à leur faim, boire à leur soif,  construire une vie vivable avec leurs enfants et leurs voisins, avec un toit protecteur au-dessus de la tête, sortir librement et en paix et en sécurité dans des rues accueillantes, cultiver leur terre, ou leur bibliothèque, envoyer leurs enfants à l'école....

Non, un régime basé sur la force ne peut pas et ne doit pas tenir indéfiniment.
Et la parole devrait être laissée aux femmes, pour une espérance digne.

Gisèle

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